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10 dessins sur la protection de l'enfance

Les différents travaux de l'ODPE ont amené à soulever quelques paradoxes, idées forces, ou problématiques dans le champ de la protection de l'enfance. Si les études et les données statistiques permettent de mieux cerner les questions, une illustration est parfois plus efficace pour amener les uns et les autres à réfléchir aux implications concrètes de ces constats dans la pratique.

L'ODPE a donc mené un travail avec Laurent VANHELLE, illustrateur/graphiste finistérien, pour mettre en dessins une dizaine de messages sur la protection de l'enfance. N'hésitez pas à vous en saisir !Un petit texte accompagne chaque illustration afin de bien exposer le sens de chaque message.

1ère illustration : L’impact du contexte socio-économique sur la vie familiale.
Le danger vécu par l’enfant est bien souvent la conséquence d’un processus de fragilisation parentale qui se répercute de manière plus globale sur la cellule familiale : « et si ces familles dites dangereuses étaient, avant tout des familles en danger… ».

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2ème illustration : La surexposition des femmes dans les questions de protection de l’enfance.
« Mauvaises mères… mais indispensables quand même ! » Emilie POTIN
Notre société présente un découpage sexué des rôles de chacun, notamment, dans la sphère familiale et domestique. La protection de l’enfance n’est pas épargnée par ce constat.

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3ème illustration : Adéquation entre offre et besoin d'accuil des enfants confiés : un choix... contraint ?

Chacun tente de trouver le lieu d’accueil le mieux adapté aux besoins de chaque enfant, mais plusieurs contraintes, qui n’ont rien à voir avec l’intérêt de l’enfant, pèse sur l’offre d’accueil réellement disponible : la disponibilité des places, l’adaptation de la place disponible au profil de l’enfant, l’Histoire du département marqué par une structure de l’offre d’accueil qui évolue très peu…

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4ème illustration : Le paradoxe de l’aide contrainte.
Les professionnels sont de plus en plus souvent amenés à rencontrer des familles qui ne demandent rien ou qui perçoivent l’aide comme une intrusion dans leur espace privé, voire comme une violence.
Intervenir auprès de familles qui ne souhaitent pas leur présence alors qu’ils sont là pour les aider plonge les professionnels en plein paradoxe.

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Vous pouvez aussi consulter le Compte-rendu de la Journée d'étude sur cette thématique

   

5ème illustration : Du plaisir aux risques : des ados plus difficiles aujourd’hui qu’hier ?
La jeunesse est une période d’insouciance où la recherche de plaisir et de sensation est importante. C’est aussi une période d’expérimentations, de défis, de recherche de limites… comportements qui sont susceptibles d’entraîner des risques pour les jeunes, pour leur santé, pour leur bien-être.

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6ème illustration : L’accueil de l’enfant : une séparation impliquant la négociation d’une nouvelle articulation autour de la parentalité.

L’accueil de l’enfant confié implique le partage temporaire de la parentalité entre les parents de l’enfant et les différents professionnels qui interviennent auprès de lui. La négociation de la place de chacun dans cette « co-éducation temporaire » peut avoir une incidence directe sur le déroulement du placement.

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7ème illustration : parcours-type de placement n°1 : Les enfants placés.

Il s’agit souvent d’enfants placés jeunes (moins de 10 ans), qui ont connu un placement long et un seul lieu d’accueil (des familles d’accueil en très grande majorité). Des liens d’attachements forts se sont noués avec la famille d’accueil, leur prise en charge est marquée par une grande stabilité et continuité.

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8ème illustration : Parcours-type de placement n°2 : Les enfants déplacés.

Ces enfants ont connu plusieurs lieux d’accueil sans qu’un retour au domicile familial ne soit possible. L’épuisement et la peur de créer des liens qui peuvent se voir fragilisés par une rupture font que l’enfant paraît passif et captif de son placement.

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9ème illustration : parcours-type de placement n°3 : Les enfants replacés.

Il s’agit d’enfants connaissant un enchaînement de mesures interrompues par un ou plusieurs retours au domicile familial. L’enfant vit dans un mouvement d’aller-retour presque sous une forme de garde-alternée. Leurs « chez-eux » sont chez leurs parents et non le lieu d’accueil.

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